,L'une pareille au cygne et l'autre à la colombre
!Belles et toutes deux joyeuse,ô douceure
Voyez,la grande soeur et la petite soeur
Sont assises au seuil du jardin et sur elles
Un bouquet d'oeillets blanes aux longues tiges frèles
Dans une urne de marbre agité par le vent
Se penche le regarde immobile et vivant
Et frissonne dans l'ombre et semble au bord du vaise
Un vol de popillons arrêté dans l'extase
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